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Un morceau de la vie de nos chevaux
Un morceau de la vie de nos chevaux
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19 septembre 2010

On prépare les balades d'hiver !

Journée sans voiture à Bruxelles. Aïe, aïe, Sandrine a pris du retard, elle ne peut plus quitter la ville. On doit donc sortir: le grand Hendrik, demoiselle Ranza et Miss'Tinguet. Et rentrer Hakkam, Picasso et Sari. Vincent venant faire les pieds d'Hakkam et de Picasso mercredi, un essai de sortir de prairie en manipulant les 3 chevaux ensembles est bienvenu.

Pour Loudji et Curtero, nous ferons une reconnaissance des balades prévues pour un hiver pas chaud.

Il y a aussi un nouveau chemin à découvrir. Départ le long de la chaussée vers la gauche. Ben, c'est pas top, pas top du tout. Limite trop dangereux. Il n'y a pas assez de place pour marcher côte à côte. Les voitures roulent comme sur un circuit de courses. C'est dans le tournant, et on ne voit rien. Nous faisons demi-tour. Nous allons retourner sur des chemins plus sécuritaires.

Ce sera : balade dans le village, un excellent exercice pour sieur Curtero. Des trottoirs à monter, à descendre. Des passages pour piétons, des plaques d'égoux à regarder, des casses vitesse à traverser sans rechigner. Et des gens à croiser, ce n'est pas une mince affaire.

On va dire qu'on a presque tout bon, le nain fut ... sage... Sauf dans la servitude derrière l'école, il faut enjamber les tiges de maïs cassées par le vent. Pffff !

Maintenant, il faut qu'on m'explique. Le nain noir n'aime pas les LIGNES, ça tout le monde le sait. Aujour'hui, il en a passé des lignes, encore et encore et des tiges de maïs, na, na, na. La ligne la plus terrrible à passer fut .. ta-daaaam...., un ligne tracée à la craie par les enfants qui ont joué à la marelle. Nous, on ne l'avait même pas vue. Parfois, on aurait envie d'être dans sa tête pour comprendre le pourquoi de ses frayeurs.

Loudji est une commère, il ne rate rien de ce qui aurait pu changer depuis sa dernière visite. Loudji voit tout, regarde tout, examine tout, veut tout savoir. Curtero n'est pas vraiment regardant, il trace sa route. Mais une LIGNE, ça, il ne la ratera pas, il la voit comme si c'était un élépant qui lui barrait la route. Il doit certainement y avoir des fantômes mangeurs de chevaux cachés dans les lignes surtout dans les toutes petites et toutes minces.

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