Tournicoti-tournicota

En autonomie, si, si, quand il faut, il faut.... Et bien, on s'est amusé Curtero et moi.

J'ai commencé par nettoyer les boxes des deux chéris, puis pansage du mien dadou. Y'avait des "plecs madame" dans les crins de son toupet, il n'a pas aimé des masses que je lui "arrache" les crins pour enlever ça.

Direction la piste extérieure, détente mode Curtero. On marche les rênes longues au gré des fantaisies de l'étalon noir. J'en profite pour chercher l'inspiration à notre travail. Que pouvons-nous faire avec ce qu'il y a en piste ?

Une ligne de trois obstacles nous servira pour travailler les voltes, les incurvations, les changements d'incurvation, les huit de chiffre. Gros boulot pour la concentration du dadou. Parfois je lui demande plusieurs voltes autour d'un obstacle, parfois on change à chaque passage. Une fois que l'artist-chaud a compris de quoi il s'agit, il "attend" ce que je vais lui demander. Beaucoup de "tournicoti-tournicota" en essayant de garder le cheval en main sans accélération et sans vol du mouvement, c'est la cavalière qui indique ce qu'on doit faire.

Un peu de travail à la jambe isolée, c'est là où l'œil extérieur nous manque terriblement. Mais Curtero est de bonne volonté, il essaye de s'appliquer, moi aussi.

Nous avons terminé par des galops "endiablés". Profitons des longues lignes droites pour pousser un peu l'artist-chaud. Cela permet de confirmer les transitions descendantes. Curtero accélère à la demande mais ralentit aussi sec à la moindre sollicitation, un amour de cheval.

Comments

[Moineau16]

Sympas vos exercices! Il y a de la pub pour l'equitation a la tele francaise ces jours-ci, cela donne envie.