Un TGV, non un Thalys !

Et même poooos peur !

Boxes faits, dadous tout propres, sellés, bridés, en route....

On met un pull, on n'en met pas ? Pas de risque inutile, on met.... Mais qu'est-ce que j'ai eu chaud ! Curtero a bien changé, il n'a plus peur quand je gesticule sur son dos. Enlever un pull à col roulé, avec une bombe sur le crâne, une cravache en main, et un nain qui marche vite, ce n'est quand même pas de tout repos. Donc, j'ai eu chaud pour cause de pull pas enlevé !

Nous avons commencé la balade par le chemin de la ferme d'en bas. Curtero marche, perdu dans ses pensées. Il fait tellement beau que, idée simultanée des cavalières, on continue par chez Dirk et Chantal ? Nous tournons donc à droite au lieu de continuer tout droit. Quelques mètres plus loin, Curtero sort de ses pensées et ... gloupmphhh, il entame un demi-tour serré. De toute évidence, il ne sait pas où il est. Arrêt, observation du paysage, ah bon.... Trop drôle. 

Une longue ligne droite nous tend les bras, au trot. J'adore le sentir "voler" au-dessus du chemin. Passage du pont sous l'autoroute, du pont au-dessus de la voie du TGV. Bonjour Dirk ! Bonjour le troupeau de Quats. Sur le chemin du retour, il faut passer au-dessus l'autoroute et du TGV. Je n'aime pas trop lorsqu'un TGV passe en même temps que nous.

Ben, ce n'était pas le Train à Grande Vitesse mais un Thalys ! Heuuu ! Ca fait le même raffut. Même poooos peur. On s'arrête et on regarde en bas,.... les chevaux et Maëlle, pas moi, j'ai le vertige.

Nous sommes des "moooovaises", on n'a pas voulu rentrer par le chemin du cimetière, pourtant Curtero aurait bien aimé. Nous avions le choix. On tourne à droite, on va voir les filles et le chemin du cimetière. On tourne à gauche, il y a la mini-vache et le casse-vitesse. Déçu le Curtero et là, il savait où on était. Ses pensées étaient toutes consacrées au chemin que lui voulait prendre. Nous sommes vraiment des "moooovaises".