Enfin dehors!

Chouette, le temps c'est radoucit. Plus de neige, plus de glace, plus de risque de glissade. Et pour couronner le tout, il ne pleut pas. Y'a même un ptit rayon de soleil !

Dehors, enfin!

Rapide décrassage des dadous. Ben oui, on n'a pas pu promener mais cela n'a pas empêché nos zoziaux de s'amuser en prairie. Et pour eux, plus il y a de la boue, plus c'est chouette. Cela occupera moman pour me décrasser, spas ? Aujourd'hui, on va faire vite, juste présentables quoi!

Pendant que Maelle emmène Loudji boire au grand tonneau d'eau poos propre, je grimpe sur le dos de Curtero. Pied à l'étrier, héééé ! Il a senti quelque chose l'artiste. A peine eu le temps de me mettre en selle que le dadou démarre. C'est quoi c't'affaire? En principe le montoir, c'est acquis.

Nous avons même sorti les couvre-reins. Pas tant pour les chevaux mais aussi pour nous. Cela couvre les genoux des cavalières en plus de couvrir le dos des mignons. Juste interdit de lever le popotin de la selle sinon le couvre-rein, il ne sert plus à rien. Il glisse vers l'arrière et se retrouve loin sur le dos de Curtero.

Note à moi-même: Faudra inventer un système pour faire tenir ce machin en place.

Maelle avait décidé d'une petite sortie mais le joli soleil nous a obligées, oui, oui, obligées, à allonger la balade. Et puis les deux clowns étaient joyeux. On auraient été mauvaises de leur raccourcir leur plaisir. Curtero décide de tourner à droite à l'entrée du village. Comme tu veux mon chéri c'est toi qui conduis....

Nous ferons donc la balade de "la ferme du fond". Celle où l'on rencontre les fermiers si gentils. C'est chouette des gens comme eux, ils nous ont souhaité une bonne balade. Ils ont arrêté le tracteur pour ne pas effrayer les chevaux. Le petit chemin des chasseurs est occupé par les fermiers qui dégagent les arbres, coupent le bois. Pas d'allures donc pour notre sortie mais ce n'est pas grave, le pas nous permet de mieux apprécier la balade, ça dure plus longtemps...

En résumer, bonne promenade avec deux chevaux joyeux mais sages et des cavalières toutes contentes de s'aérer les neurones.