Aie, y'a des lignes !

Il y a des travaux sur le chemin de la ferme et la route est barrée. Pas grave, nous passons sur le champ fauché. On ne tentera pas de galop aujourd'hui parce qu'on ne sait pas ce qu'on va trouver au bout du champ, sans doute des grosses machines...

Grosses émotions, après les ouvriers, la pelleteuse, la dameuse, le tracteur qui rentre dans la cour un peu rapidement...

Y'a des lignes sur le chemin, juste sur le pont tant qu'à faire.

Tout bon (faut le dire vite) pour moi qui n'ai plus travaillé ma phobie des ponts depuis un bout de temps. Je déteste toujours ça et c'est, bien sûr, juste à cet endroit que Curtero décide de faire le cake.

Nocturno n'est pas encore prêt à assumer lorsque le nain marque une crainte. Maëlle l'oblige à passer mais le nain n'accroche pas derrière le paquebot effrayé. "Débrouille-toi" qu'il dit le grand. Nous passons donc "en crabe", avec un Curtero soufflant, l'arrière main bien trop proche de la margelle du pont au goût de Moman.

Ouff, passées,... Je risque d'avoir quelques craintes pour repasser à cet endroit pendant quelques jours. Il s'agira donc de convaincre Maëlle de tenter une autre balade même si c'est plus long.

Lorsque nous empruntons le chemin de terre, il y a, au loin, une cavalière sur un alezan. Le nain a vu ! Chut, l'entier, range tes billes! Nous ralentissons pour laisser le dadou alezan prendre un peu de distance. Le couple est arrivé par la droite, il repart par la droite au bout du chemin de terre. Il y a donc une "boucle". C'est par là que je veux aller la prochaine fois.